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249, Faubourg Saint Antoine

Couverture du livre 249, Faubourg Saint Antoine

Auteur : Jean Diwo

Date de saisie : 30/11/2006

Genre : Romans et nouvelles – francais

Editeur : Flammarion, Paris, France

Prix : 18.00 / 118.07 F

ISBN : 978-2-08-069044-9

GENCOD : 9782080690449

  • Les presentations des editeurs : 16/09/2008

249, faubourg Saint-Antoine est le livre d’une maison et d’une famille au temps ou ce faubourg avait une ame, celle des gens du bois, des descendants de Boulle, de Riesener, de Jacob. Ces pages arrachees a un passe deja bien estompe – le recit debute en 1914 – ne sont pas des memoires. Le je est certes un peu moi mais aussi un autre, plutot des autres. Et si Jean-Baptiste Benoist, la plus fine lame des sculpteurs sur bois, collectionneur fantasque, chef de famille et mari exemplaire, ressemble a Jean-Baptiste Diwo, mon pere, il reste un personnage largement imaginaire, comme les autres acteurs de cette comedie parisienne. Car a travers eux, j’ai souhaite retrouver l’atmosphere si particuliere de mon enfance, les copeaux, le bruit de la varlope et l’odeur de la colle d’un quartier aujourd’hui disparu.

J. D.

  • La revue de presse Delphine Peras – Lire, decembre 2006

Recit colore d’un petit garcon ne en 1914 a cette adresse precise, comme Jean Diwo, ce livre-la retrace la vie de sa famille et de tout un quartier – celui des artisans du bois – jusqu’au debut des annees 1930…
Nostalgique, Jean Diwo ? Pas du tout. Juste l’envie de partager ses souvenirs, de ressusciter ce pere sculpteur sur bois, fine lame et forte tete, collectionneur fantasque, familier d’Anatole France et de Baudelaire…
C’est aussi un homme d’une pudeur inattendue, que l’on imaginait prompt a derouler le fil d’une vie bien remplie et qui s’avere presque taiseux, jamais pesant. On decouvre donc par hasard que Marc Chagall et Salvador Dali furent ses amis, qu’il a bien connu Frederic Dard et travaille avec Doisneau au Parisien libere, juste apres la guerre..

  • Les courts extraits de livres : 16/09/2008

De vieux locataires disaient que cette hostilite avait pour origine une querelle de cordon, bobinette lourde de symboles des portiers d’antan. Ah, le cordon ! Balzac et Zola l’ont souvent tire, madame Suprin plus encore. Ce pompon qui pendait au bout d’une cordeliere de passementerie au-dessus de son lit lui permettait, apres dix heures du soir, en reponse a la sonnerie declenchee par le bouton de la rue, d’ouvrir la porte aux locataires. Dans l’autre sens, en cas de sortie nocturne, il etait d’usage de lancer en passant devant la loge un bref: Cordon s’il vous plait ! Mais cette habitude ne plaisait pas toujours a la Suprin. Souvent, il lui arrivait de laisser sonner ou quemander durant de longues minutes le droit de rentrer chez soi ou d’en sortir.
Comme on s’en rend compte, le cordon, sans atteindre le prestige de la Legion d’honneur, conferait une sorte de pouvoir regalien a cette petite femme sans age, clopinante mais a l’oeil vif, dont les crises d’autorite nocturnes se traduisaient generalement, le lendemain, par de severes engueulades.

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