
Auteur : Magnus Mills
Traducteur : Jean-Francois Merle
Date de saisie : 14/11/2005
Genre : Romans et nouvelles – etranger
Editeur : 10-18, Paris, France
Collection : 10-18. Domaine etranger, n 3853
Prix : 8.00 / 52.48 F
ISBN : 978-2-264-03318-5
GENCOD : 9782264033185
- Les presentations des editeurs : 14/05/2006
Quand on a fait le choix de vivre dans une cabane perdue et que le contact de tout etre humain vous horripile, ce n’est pas pour voir debarquer, du jour au lendemain, une snob deluree qui s’installe chez vous sans aucune raison. C’est pourtant ce qui arrive au nouveau heros de Magnus Mills. Ermite misanthrope et farouche solitaire, notre Diogene des temps modernes mene sa vie au milieu de nulle part. Jusqu’au jour ou Mary Petrie, une pique-assiette notoire, decide d’habiter chez lui et de demonter tranquillement ses habitudes de vieil ours. Entre humour noir et dialogues qui font mouche, l’auteur de Retenir les betes s’attaque de nouveau aux absurdites du genre humain. Drole et bouleversant.
- La revue de presse Michele Gazier – Telerama du 7 decembre 2005
Le narrateur de cette etrange histoire vit dans une maison en fer-blanc posee sur une plaine desertique battue par le vent et le sable. Il aime sa solitude. Il aime le bruit du vent qui fait trembler les murs de metal de sa demeure. Un jour, une femme debarque dans sa maison et dans sa vie. Elle s’installe…
L’ecriture de Magnus Mills a la fluidite, la transparence de l’air au-dessus des deserts. Drole, emouvant, le narrateur, a la recherche d’une serenite qu’il croyait avoir trouvee, nous plonge dans la logique absurde de ses reves.
- La revue de presse Christophe Mercier – Le Figaro
Un homme vit seul sur une plaine de sable balayee par le vent, dans une maison de fer-blanc. Il a trois voisins, chacun dans sa maison de fer-blanc, a plusieurs heures de marche. Une femme passe, qui s’installe chez lui,…
Le troisieme roman de l’Anglais Magnus Mills est digne de Retenir les betes et de Sur le depart. On retrouve avec un plaisir pervers son ton de drolerie detachee et son univers dans lequel un quotidien prosaique est peu a peu infiltre par une angoisse qui laisse le lecteur prive de tous ses reperes, pris d’une sorte de vertige…