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44 Scotland Street

Couverture du livre 44 Scotland Street

Auteur : Alexander McCall Smith

Traducteur : Elisabeth Kern

Date de saisie : 22/06/2007

Genre : Policiers

Editeur : 10-18, Paris, France

Collection : Les exceptionnels

Prix : 14.00 / 91.83 F

ISBN : 978-2-264-04327-6

GENCOD : 9782264043276

Sorti le : 07/06/2007

  • Les presentations des editeurs : 17/09/2008

Quand la jeune Pat pousse la porte du 44 Scotland Street, elle espere bien prendre un nouveau depart. Entre son colocataire, un beau gosse insupportable et terriblement seduisant, et son excentrique voisine de palier, Domenica, la voila entrainee dans une nouvelle vie au coeur de l’Edimbourg boheme. Son travail a la galerie Something Special s’annonce pourtant un peu morne. Sauf que Pat decouvre au fond de l’obscur endroit un tableau qui pourrait bien valoir son pesant d’or et transformer sa vie ! D’abord publiees sous la forme d’un roman-feuilleton, ces chroniques d’Alexander McCall Smith brossent avec humour et tendresse la societe d’Edimbourg et composent, entre chasses-croises amoureux et intrigues haletantes, une savoureuse galerie de portraits.

Traduit de l’anglais par Elisabeth Kern

Ressortissant britannique ne en 1948 au Zimbabwe, ou il a grandi, Alexander McCall Smith vit aujourd’hui a Edimbourg et exerce les fonctions de professeur de droit applique a la medecine. Il est internationalement connu pour avoir cree le personnage de la premiere femme detective du Botswana, Mma Precious Ramotswe, heroine d’une serie qui compte deja huit volumes. Quand il n’ecrit pas, Alexander McCall Smith s’adonne a la musique – il fait partie de l’Orchestre epouvantable – et aux voyages. Il est egalement l’auteur d’un recueil de contes intitule La femme qui epousa un lion et des aventures d’Isabel Dalhousie, presidente du Club des philosophes amateurs, dont le deuxieme volet, Amis, amants, chocolat, a paru en 2006 aux Editions des 2 Terres. 44 Scotland Street inaugure les Chroniques d’Edimbourg, un roman-feuilleton qui relate les tribulations d’un immeuble peuple de personnages hauts en couleur.

  • Les courts extraits de livres : 17/09/2008

Il y a des trucs qui se passent…

Debout devant la porte, au pied de l’escalier, Pat lut tous les noms inscrits sur l’interphone : Syme, Macdonald, Pollock…, avant de reperer celui qu’elle cherchait : Anderson. Il devait s’agir de Bruce Anderson, l’expert immobilier, qu’elle avait eu au telephone. C’etait lui qui collectait les loyers, avait-il explique, et reglait les factures. Il lui avait suggere de venir jeter un coup d’oeil a l’appartement avant de decider si elle avait envie de s’y installer.
– Et comme ca, on en profitera pour voir a quoi tu ressembles, avait-il ajoute. Si ca ne te derange pas.
On allait donc lui faire subir un examen, pensait-elle a present, la soumettre a une expertise qui determinerait si, oui ou non, elle convenait aux autres colocataires, la jauger pour savoir si elle etait susceptible de mettre la musique a fond ou de recevoir des amis qui devasteraient l’appartement. Ou encore, supposait-elle, de taper sur les nerfs de tout le monde.
Elle sonna et attendit. Au bout d’un moment, un bourdonnement se fit entendre et elle poussa la lourde porte noire du numero 44, ornee d’un heurtoir en forme de tete de lion et d’une plaque de cuivre ternie, au-dessus de la poignee. C’etait une porte en mauvais etat ; elle reclamait une bonne couche de peinture, car elle etait rayee et s’ecaillait en plusieurs endroits. Il est vrai que l’on etait dans Scotland Street, et non sur Moray Place ou Doune Terrace, ou meme sur Drummond Place, la jolie place d’ou Scotland Street descendait en pente raide. Cette rue se trouvait a la limite du quartier boheme de la nouvelle ville d’Edimbourg, un secteur ou les cabinets juridiques et comptables etaient minoritaires (quoique de justesse).
Elle gravit a pied quatre etages pour atteindre le dernier palier, qui desservait deux appartements. La premiere porte, vert fonce, ne portait aucune inscription. Sur la seconde, peinte en bleu, etait scotchee une feuille de papier avec trois noms ecrits a la main, en gros caracteres. Lorsque la jeune fille deboucha en haut de l’escalier, cette porte etait ouverte, aussi se retrouva-t-elle d’emblee face a un grand jeune homme qui devait avoir trois ou quatre ans de plus qu’elle. Il avait des cheveux bruns coupes en brosse et portait un maillot de rugby. Triple Crown, lut-elle. Next Year. Et au-dessous, entre parentheses, la mention Maybe.
– Je suis Bruce, dit-il. Et je suppose que tu es Pat. Avec un sourire, il lui fit signe d’entrer.

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