Auteur : Tom Cain
Date de saisie : 11/06/2008
Genre : Policiers
Editeur : Nimrod, Paris
Prix : 19.50 / 127.91 F
ISBN : 978-2-915243-12-3
GENCOD : 9782915243123
Sorti le : 09/06/2008
- La voix des editeurs : Francois de Saint-Exupery – 17/09/2008
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Francois de Saint-Exupery – 04/06/2008
- Les presentations des editeurs : 17/09/2008
31 aout 1997
Ancien soldat d’elite desormais au service d’une organisation secrete, Samuel Carver intervient dans le cadre de missions homicides – il neutralise des salauds en deguisant leur mort en accident. Appele precipitamment a Paris pour eliminer un dangereux terroriste, il provoque sa disparition dans un accident de voiture sous le tunnel du pont de l’Aima. Quelques heures plus tard, il decouvre la veritable identite de sa victime et realise la terrifiante manipulation dont il a fait l’objet…
UN BEST-SELLER INTERNATIONAL
Tom Cain est le pseudonyme d’un journaliste anglais plusieurs fois recompense dans le cadre de ses reportages d’investigation.
Son roman, Accident Man, a ete traduit en une dizaine de langues. Les droits cinematographiques ont ete acquis par Paramount.
Le meilleur thriller que j’aie jamais lu d’un nouvel auteur depuis Chacal de Forsyth. Wilbur Smith
Le thriller le plus audacieux de ces dernieres annees. The Mirror
J’attendais avec impatience de lire le roman de Tom Cain. Tout ce que je peux dire maintenant que je l’ai lu, c’est OUAOUH ! Shots Magazine
- Les courts extraits de livres : 17/09/2008
Extrait du prologue :
Les vaguelettes venaient s’echouer paresseusement sur la plage de galets, comme assommees par la chaleur de cette nuit etouffante. Le garde etait a son poste sur la jetee de bois, mais, a 22 heures passees et sans lune, l’homme arme d’une AK47 avait peu de chance de deviner la presence de Samuel Carver dans l’Adriatique. Il ne l’entendit d’ailleurs meme pas emerger sous le ponton, pas plus qu’il ne percut sa presence sous ses pieds.
Lentement, silencieusement, Carver nagea vers le rivage peu profond ou il retira son masque, ses palmes et sa veste de plongee a laquelle etait attachee sa bouteille d’oxygene. Il accrocha le masque et les palmes a l’un des anneaux de sa veste, puis immergea le tout au fond de l’eau, contre le sol rocailleux.
Carver attendit ensuite que le bourdonnement de l’helicoptere dechire l’obscurite lointaine pour aller jusqu’au pied de l’echelle qui plongeait dans la mer, au bout de la jetee. Il comptait maintenant sur la nature humaine. Le garde ne manquerait pas de lever les yeux au ciel lorsque l’helicoptere les survolerait. N’importe qui ferait pareil, surtout en sachant que son patron se trouvait a bord.
Lorsque le claquement de l’air sur les pales des rotors approcha de son paroxysme, Carver ouvrit l’une des deux poches etanches attachees a ses cuisses et en sortit un pistolet de veterinaire a air comprime. Il laissa les feux de position de l’helicoptere glisser au-dessus de leurs tetes, puis prit son souffle, agrippa les montants de l’echelle et se hissa sur le ponton.
Il se colla aux planches de la jetee et distingua, quelques pas devant lui, le garde qui observait le JetRanger Bell 206 en vol stationnaire a 400 metres de la, pret a se poser sur l’helipad prive dont etait equipee la villa. Le dos de l’homme constituait une cible parfaite pour la flechette anesthesiante de Carver. Il tira une seule fois, puis s’elanca aussitot pour recevoir le garde dans ses bras, evitant ainsi qu’il ne s’ecrase bruyamment sur les lattes de bois. Lorsque l’homme fut allonge au sol, il recupera sa flechette et la rangea dans sa sacoche, puis avanca sur la jetee et penetra dans la propriete, pret a faire son travail.
Les missions de Samuel Carver consistaient a faire disparaitre d’abominables individus dans de terribles accidents. Sa cible immediate etait un Albanais de 43 ans, du nom de Skender Visar. Cet homme etait officiellement connu pour diriger des filieres d’immigration clandestine, mais Carver preferait utiliser un terme plus traditionnel pour qualifier ses activites : l’esclavagisme.
Visar expediait des conteneurs d’etres humains au depart de Chine, d’Afrique ou d’anciens pays communistes d’Europe de l’Est et envoyait ainsi des chargements entiers de paysans ou d’ouvriers analphabetes se faire exploiter dans des fermes ou des ateliers clandestins ou ils accomplissaient toutes sortes de taches jugees degradantes par les Occidentaux. Il achetait des filles a des familles si pauvres qu’elles auraient volontiers vendu leurs parents et leurs amis ; il les faisait ensuite tabasser pour s’assurer de leur soumission, les bourrait de drogues et les envoyait travailler a la chaine dans des bordels, des bars ou des salons de massages qu’il possedait en Europe ou aux Etats-Unis. Rares etaient ses esclaves qui survivaient plus de deux ou trois ans, mais Visar s’en moquait. Ces quelques annees lui etaient amplement suffisantes pour amortir ses investissements – achat, transport et nourriture – et multiplier sa mise par cent a tous les coups. Et des esclaves, il y en avait toujours plus, des milliers et des milliers a ramasser dans leurs pays d’origine.
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