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Atlantis. Volume 1, L’heritiere

Auteur : Christine Feret-Fleury | Madeleine Feret-Fleury

Date de saisie : 03/09/2008

Genre : Jeunesse a partir de 9 ans

Editeur : Hachette Jeunesse, Paris, France

Prix : 13.90 / 91.18 F

ISBN : 978-2-01-201352-0

GENCOD : 9782012013520

Sorti le : 03/09/2008

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  • Les presentations des editeurs : 24/08/2008

Depuis la disparition de ses parents, la jeune Adel Pullman n’a qu’un refuge : le grenier du sinistre orphelinat ou elle est obligee de vivre. C’est la qu’elle fait deux decouvertes surprenantes : le carnet de son pere et un medaillon aux etranges pouvoirs, qui lui permet de basculer dans un autre monde.Ces objets ont-il un lien avec le continent englouti que le professeur Pullman recherchait quand il a disparu ? La legende d’Atlantis est-elle en train de renaitre ? Adel se lance dans cette quete legendaire, seule. Seule ? Pas vraiment. Car un personnage mysterieux la poursuit sans relache.
UNE JEUNE HEROINE…
UN MYTHE VENU DE LA NUIT DES TEMPS…
UNE QUETE FANTASTIQUE A METTRE ENTRE TOUTES LES MAINS !

  • Les courts extraits de livres : 24/08/2008

Paris, novembre 1863

– Adel ! Viens tout de suite ! Je te l’ordonne, tu entends, je te l’ordonne ! Sors immediatement de ta cachette ou je te…
La voix aigre et criarde de Mlle Lelonbec marqua une pause, comme si la vieille megere peinait a imaginer une punition appropriee a l’indiscipline de sa pupille. Et pourtant, la directrice adjointe de l’orphelinat Sainte-Fredegonde ne manquait pas, dans ce domaine, d’un certain talent. Ses trouvailles, en matiere de chatiments, etaient meme si raffinees, si methodiquement cruelles, que les enfants qui avaient la malchance de vivre entre les murs sombres et suintants du 8 de la rue Pissevieille s’eparpillaient a son approche comme une bande de moineaux effarouches. Helas, il n’etait jamais possible d’aller bien loin ; et si vous aviez commis un crime capital (par exemple, vous plaindre de la nourriture infame, courir dans un couloir ou vous pencher a l’une des fenetres dans l’espoir de respirer un peu d’air frais), vous risquiez de vous retrouver enferme dans une lessiveuse avec un tas de chaussettes sales ou, pire, a genoux sur une regle en fer, dans une posture humiliante et douloureuse. Ce qui aurait paru une veritable bagatelle s’il n’avait fallu ecouter, pendant les deux heures jugees suffisantes pour purger votre esprit de toute mauvaise intention, la lecture d’un opuscule au titre evocateur : De l’education des orphelins et de la meilleure maniere de remedier aux tares causees par l’atavisme et les mauvais exemples, de J. M. Rancune, fondateur-bienfaiteur de l’institution Sainte-Fredegonde. Ce fondateur avait rejoint ses ancetres bien des annees auparavant, mais ses principes, helas, lui avaient survecu. Son petit-fils, J. E. Rancune, assiste de l’infatigable Mlle Lelonbec, veillait a ce qu’ils fussent appliques, de jour comme de nuit.
– Adel !