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Dette d’os : l’epee de verite : prequelle

Auteur : Terry Goodkind

Illustrateur : Keith Parkinson

Traducteur : Jean-Claude Malle

Date de saisie : 05/12/2008

Genre : Science-fiction, Fantastique

Editeur : Bragelonne, Paris, France

Collection : Fantasy

Prix : 15.00 / 98.39 F

ISBN : 978-2-35294-242-9

GENCOD : 9782352942429

Sorti le : 05/12/2008

  • Les presentations des editeurs : 06/01/2009

Il y a tres longtemps, avant la creation de la frontiere, la guerre faisait rage entre D’Hara et les Contrees du Milieu. Dans ce climat inquietant, une jeune femme se rendit dans la cite d’Aydindril pour obtenir une audience avec le Premier Sorcier. Elle s’appelait Abby et venait lui demander de sauver les habitants de son village. Il s’appelait Zeddicus Zu’l Zorander et sa lutte contre la dangereuse magie de Panis Rahl allait prendre un nouveau tournant…

Cette prequelle a L’Epee de Verite est une edition a tirage limite et comprend une introduction de l’auteur et des illustrations de Keith Parkinson, l’artiste dont les magnifiques peintures ornent les couvertures de toute la serie.

Terry Goodkind est le nouveau prodige de la Fantasy americaine. Son cycle de L’Epee de Verite est un best-seller international vendu a plus de 20 millions d’exemplaires. Pour la premiere fois depuis Terry Brooks, un auteur a reussi l’exploit de rassembler tous les publics sous sa banniere. Traitrise, aventure, intrigue, amour, tous les ingredients sont reunis dans ce cycle pour en faire la plus grande fresque de Fantasy depuis Tolkien.

  • Les courts extraits de livres : 06/01/2009

– Que portes-tu dans ton sac, mon enfant ? Abby regardait un vol de cygnes passer devant les immenses murailles de la Forteresse du Sorcier. Avec une grace majestueuse, les oiseaux survolaient un interminable alignement de remparts, de tours, de passerelles et de ponts aureoles d’une lumiere pourpre par le soleil couchant. Depuis le debut de la journee – et d’une longue attente – la sinistre forteresse, tel un fantome, avait paru surveiller tous les faits et gestes d’Abby.
La jeune femme leva les yeux vers la vieille dame voutee par le temps qui faisait la queue devant elle.
– M’avez-vous pose une question ? demanda-t-elle, confuse.
– Je voulais savoir ce que tu portes dans ton sac, dit la vieille femme. (Le bout de sa langue apparut a travers le vide laisse dans sa bouche par une canine tombee au champ d’honneur.) C’est quelque chose de precieux ?
Abby serra le sac de toile contre elle et recula d’un pas.
– Quelques affaires a moi, c’est tout…
Suivi par une myriade d’assistants et de gardes, un officier franchit l’imposante herse, a l’autre bout du pont. Abby et les autres suppliants qui attendaient devant le pont-levis s’ecarterent d’instinct. Pourtant, les soldats avaient largement la place de passer.