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Edimbourg express

Auteur : Alexander McCall Smith

Traducteur : Elisabeth Kern

Date de saisie : 08/06/2008

Genre : Romans et nouvelles – etranger

Editeur : 10-18, Paris, France

Collection : Les exceptionnels. Les chroniques d’Edimbourg, n 2

Prix : 14.00 / 91.83 F

ISBN : 978-2-264-04454-9

GENCOD : 9782264044549

Sorti le : 05/06/2008

  • Les presentations des editeurs : 09/06/2008

La vie poursuit son cours au 44 Scotland Street. Si Pat Macgregor partage toujours son appartement avec l’insupportable Bruce, les sentiments qu’elle avait pour lui appartiennent bel et bien au passe. Pendant que celui-ci se remet d’une rupture et d’un licenciement en s’admirant devant la glace, la jeune femme, bien decidee a elargir son horizon, accepte une surprenante invitation… a un pique-nique nudiste ! Un etage plus bas, Bertie, six ans et toujours aussi intelligent, tente par tous les moyens de s’affranchir de l’implacable programme etabli par sa mere qui, outre le yoga et le saxophone, comprend desormais une therapie avec le terrifiant Dr Fairbairn. Etonnamment, c’est peut-etre en la personne de son pere qu’il trouvera un allie de taille…

Traduit de l’anglais par Elisabeth Kern

  • Les courts extraits de livres : 09/06/2008

Semiotique, pubs, decisions

C’etait l’ete. La marche du temps, si hesitante au debut du printemps, semblait desormais implacable. Toujours trop precoce, le jour le plus long de l’annee etait passe dans un deferlement de vent et de pluie fine, pour etre suivi d’une glorieuse vague de chaleur qui penetrait chaque pierre d’Edimbourg.
Sur les trottoirs avaient surgi ca et la de petits essaims de tables et de chaises prises d’assaut par des flaneurs qui avaient peine a croire qu’ils etaient bel et bien installes dehors, en Ecosse, a la fin de l’ete. Chacun d’eux savait que cela ne durerait pas. Le mois de septembre arriverait et ensuite, tout le monde en etait conscient hormis quelques esprits confus, ce serait octobre… et l’obscurite. Et le ciel ecossais, fidele a ses traditions culturelles, se revelait tres clair sur un point : le bon temps se payait toujours, et promptement. C’etait la un principe auquel la nature, en Ecosse, ne derogeait jamais. Les paysages de lacs et de montagnes etaient bien jolis, mais qu’est-ce qui arrivait, la, juste derriere vous ? Un nuage de moucherons.