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La Comedie de Turin : recit d’un administrateur de succession

Auteur : Michael Kruger

Traducteur : Claude Porcell

Date de saisie : 06/06/2008

Genre : Romans et nouvelles – etranger

Editeur : Seuil, Paris, France

Collection : Cadre vert

Prix : 19.00 / 124.63 F

ISBN : 978-2-02-086460-2

GENCOD : 9782020864602

Sorti le : 07/05/2008

  • Les presentations des editeurs : 07/06/2008

Un professeur allemand, ecrivain mondialement celebre, vient de se suicider en Italie. Son meilleur ami, executeur testamentaire, doit mettre de l’ordre dans les papiers du defunt pour publier son dernier roman, celui qui doit renvoyer aux oubliettes tous les romans de la litterature universelle et mettre un terme definitif au roman tout court.
Nous voici donc embringues dans une traque, qui nous emporte sur des pistes inattendues : que font tous ces animaux sur la terrasse du palazzo ? Et surtout ces femmes qui entretenaient avec le heros/anti-heros, mais aussi avec le narrateur, des relations bizarres et complexes ? Et que fait le narrateur, une fois de plus piege, dans cet imbroglio biographique ? Ou est le roman annonce ? Cette enquete loufoque mele le grotesque et la satire qui cachent une reflexion sur la litterature a travers ses vicissitudes contemporaines. Et si le roman n’etait que le patchwork de la vie ?

Traduit de l’allemand par Claude Porcell

  • La revue de presse Astrid Eliard – Le Figaro du 6 juin 2008

Mais la est sans doute le plus grand gag de cette comedie de Michael Kruger, auteur de Himmelfarb : elle n’est pas drole. Elle vous conduit au bord du sourire, aux frontieres de l’absurde, sans jamais basculer dans le comique.L’histoire se passe dans une ville de suicides, Turin, ou se sont donne la mort Pavese, Primo Levi, Lucentini, et enfin ce heros mysterieux du livre, Rudolf, un ecrivain assassine par son propre labeur. Le narrateur est venu d’Allemagne pour recoller les morceaux de ce suicide, ranger les papiers de Rudolf, et reveiller un chef-d’oeuvre endormi de l’ecrivain…
Et si le chef-d’oeuvre de Rudolf, comme ces fresques de l’Antiquite qui s’effacent a l’air libre, s’etait volatilise au contact du regard de son executeur testamentaire ?