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La fille du rabbin : memoires

Auteur : Reva Mann

Traducteur : Valerie Rosier

Date de saisie : 06/02/2008

Genre : Biographies, memoires, correspondances…

Editeur : Lattes, Paris, France

Prix : 20.00 / 131.19 F

ISBN : 978-2-7096-2940-9

GENCOD : 9782709629409

Sorti le : 06/02/2008

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  • Les presentations des editeurs : 08/06/2009

Fille d’un rabbin londonien, Reva Mann raconte avec une rare franchise son itineraire chaotique de jeune fille juive sans cesse dechiree entre rebellion et piete, tradition et modernite.
Apres une adolescence sex, drugs & rock n’roll a Londres, son gout pour l’extreme la conduit a Jerusalem, dans une yeshiva ou l’on observe les regles juives orthodoxes. Alors qu’elle pensait acceder a l’epanouissement spirituel, Reva souffre terriblement du carcan qui l’enferme. Doit-elle renoncer a ses desirs, a sa sensualite de femme pour trouver Dieu ? Mariages arranges, rituels du bain ou rapports de couple codifies sont decrits par Reva Mann avec justesse et intelligence.
Ce portrait ose, sans concession et plein d’humour des combats d’une vie a deja touche des milliers de femmes.

Reva Mann est la fille d’un des rabbins les plus respectes de Londres et la petite-fille d’un des rabbins fondateurs d’Israel. Elle vit aujourd’hui a Jerusalem avec ses trois enfants et tient une chronique hebdomadaire pour le Jewish News London et le Jewish Advocate Boston.

  • La revue de presse Eliette Abecassis – Le Figaro du 7 fevrier 2008

Reva aspire avant tout a la saintete, et a la purete, et si elle ne parvient pas a l’atteindre, c’est parce qu’elle est trop tentee par les liens de la chair ; et c’est precisement peut-etre ce qui en fait une veritable ame spirituelle. Ecartelee entre deux mondes, elle sent qu’elle n’appartient ni a l’un ni a l’autre…
Dans ce combat qui est le notre pour l’Absolu, que l’on croit atteindre en tombant amoureuse, en se mariant, puis en enfantant, pour s’apercevoir que l’Absolu est ailleurs, et qu’il nous echappe. Ou est-il alors ? Ni dans la drogue, ni dans l’extremisme religieux qui est comme le souligne justement et pudiquement Reva Mann une autre forme d’idolatrie… Quelque part, peut-etre, entre ciel et terre.