Skip to content Skip to sidebar Skip to footer

La mort d’Olga Maria

Auteur : Horacio Castellanos Moya

Traducteur : Andre Gabastou

Date de saisie : 00/00/0000

Genre : Romans et nouvelles – etranger

Editeur : 10-18, Paris, France

Collection : 10-18. Domaine etranger, n 3964

Prix : 6.40 / 41.98 F

ISBN : 978-2-264-04275-0

GENCOD : 9782264042750

Acheter La mort d’Olga Maria chez ces libraires independants en ligne :
L’Alinea (Martigues)Dialogues (Brest)Durance (Nantes)Maison du livre (Rodez)Mollat (Bordeaux)Ombres Blanches (Toulouse)Sauramps (Montpellier)Thuard (Le Mans)

  • Les presentations des editeurs : 08/07/2006

Au debut des annees 90 a San Salvador, Olga Maria Trabanino est froidement assassinee d’une balle dans la tete. Qui peut donc avoir voulu la mort de cette jeune femme apparemment sans histoires ? Au fil de l’enquete, sa meilleure amie, Laura, decouvre incredule tout ce qu’elle lui avait cache : son passe, ses frequentations, ses vices… Le portrait qui se dessine alors est celui de la bourgeoisie tout entiere, qui abrite ses turpitudes et sa corruption sous le masque impavide de la respectabilite. Avec cette intrigue menee d’une plume haletante, l’auteur du Degout poursuit sa radiographie au vitriol de la societe salvadorienne, gangrenee par les luttes politiques et le trafic de drogue.

Horacio Castellanos Moya brosse, en creux, le terrible portrait d’une societe figee dans ses privileges et convaincue de son bon droit. Un livre epoustouflant et accablant.

Delphine Peras, France Soir.

Horacio Castellanos Moya est ne au Honduras en 1957, mais a vecu la majeure partie de sa vie au Salvador. Grand voyageur et journaliste, il est l’auteur de plusieurs ouvrages dont Le Degout, La Mort d’Olga Maria et L’Homme en arme (Les Allusifs, 2005). Son dernier roman, Deraison, a paru aux editions Les Allusifs en 2006. Horacio Castellanos Moya vit aujourd’hui a Francfort.

  • Les courts extraits de livres : 08/07/2006

Le commissaire adjoint lui a demande si elle se souvenait de quelque chose, quelque chose de particulier qui permettrait de reconnaitre le type. Et Olguita lui a repondu qu’il marchait comme Robocop, ce robot-policier qu’on voit a la television. J’ai annonce au commissaire adjoint qu’il etait temps de laisser la petite en paix, d’arreter de lui tirer les vers du nez, parce qu’elle venait de prendre un calmant tres fort et risquait de ne pas tenir le coup. Et Handal d’insister : Le type etait-il seul ? Olguita avait-elle vu la voiture dans laquelle il s’etait enfui ? Avait-elle remarque la presence d’autres personnes dans la rue ? La bonne s’etait-elle montree avant que le type ait commis son mauvais coup ? Je me suis interposee ! Ah non ! Qu’ils n’aillent pas soupconner Julita, la bonne, qu’ils ne se comportent pas comme des canailles, Julita connaissait Olga Maria depuis quasiment sa naissance, c’est une dame de plus de cinquante ans, qu’est-ce qu’ils allaient chercher, bon sang !