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Le club de l’adultere : elle ne voulait pas en faire partie.

Couverture du livre Le club de l'adultere : elle ne voulait pas en faire partie...

Auteur : Tess Stimson

Traducteur : Regina Langer

Date de saisie : 15/05/2007

Genre : Romans et nouvelles – etranger

Editeur : Presses de la Cite, Paris, France

Collection : Grands romans

Prix : 18.50 / 121.35 F

ISBN : 978-2-258-07324-1

GENCOD : 9782258073241

  • Les courtes lectures : Lu par Francois Attia – 23/05/2007

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Francois Attia – 23/05/2007

  • Les presentations des editeurs : 16/05/2007

Je n’arrive toujours pas a croire que le Nick guinde dont je viens de faire la connaissance est marie a cette espece de hippie qui couve manifestement un Alzheimer. Un rapide coup d’oeil dans sa direction me permet de constater qu’il n’a vraiment pas l’air a l’aise tandis qu’elle s’accroche a son bras pour naviguer au milieu des autres invites.
Et puis, d’un seul coup, c’est l’illumination. Je comprends tout, a present : l’amour de jeunesse epouse bien trop toi, la ribambelle de gosses, le credit de la maison qu’on n’en finit pas de rembourser, une vie sexuelle aride, bref : l’enfer. Le pauvre. On dirait bien qu’il a besoin d’un peu de distractions. Mmm. En voila un constat allechant.

Bienvenue dans le club de l’adultere, ou tout peut basculer !

Sarah est une brillante avocate, celibattante affirmee, qui s’est jure de ne jamais tomber amoureuse d’un homme marie. Jusqu’au jour ou elle rencontre Nick, qui lui s’est jure de ne jamais tromper sa femme fantasque et adorable…

Diplomee d’Oxford, ancienne correspondante au Liban et en Italie, l’Anglaise Tess Stimson ecrit regulierement pour le Daily Mail et les magazines feminins. Avec Le Club de l’adultere, elle entre dans le cercle tres ferme des stars britanniques de la chick-lit.

  • Les courts extraits de livres : 16/05/2007

Malinche

Ce n’est pas souvent que je desire cela. Dieu sait que je deteste tenter le destin, il a la mauvaise habitude de vous prendre au mot – comme, par exemple, souhaiter perdre du poids et voir ses deux jambes coupees dans un accident de voiture. Mais, certains jours, je ne peux pas m’empecher de penser a quel point ce serait formidable d’etre celibataire et sans enfants a cette epoque de l’annee.
Plus de recherches desesperees de jouets introuvables que les filles reclament a cor et a cri, plus d’eprouvantes expeditions a Sainsbury pour, entre autres choses, rapporter neuf livres de patates que, de toute facon, je n’aurai pas le temps d’eplucher avant trois heures du matin la nuit de Noel. Pas d’epuisants concerts de chants de Noel ou vous vous tordez le cou pour apercevoir votre progeniture cachee par le plus grand de la classe.
Et, last but not least, plus d’editeur fulminant abandonne a la table d’un restaurant parce que le dejeuner coincidait avec un de ces fichus concerts et que vous avez oublie de le prevenir.
Prenez cette charmante jeune fille en jean taille basse et veste de daim pres de l’espace a bagages, par exemple. Impossible de l’imaginer faire des courses pour trois enfants en bas age. Pas dans ces bottes si sexy montees sur des talons de dix centimetres. Je parie qu’elle ira passer les fetes sur quelque luxueuse plage du bout du monde avec un Adonis aux yeux de velours, loin de gamines aux doigts collants abonnees aux mauvaises notes et de maris je-sais-tout genereux en lecons, mais incapables d’assembler les pieces du studio d’enregistrement de Barbie Nouvelle Star.