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Les evangiles du lac

Auteur : Olivier Maulin

Date de saisie : 03/04/2008

Genre : Romans et nouvelles – francais

Editeur : Balland, Paris, France

Prix : 21.00 / 137.75 F

ISBN : 978-2-35315-034-2

GENCOD : 9782353150342

Sorti le : 06/03/2008

  • Les presentations des editeurs : 04/04/2008

Lasse par la vie de bureau, un publicitaire parisien a la derive trouve asile au fin fond d’une vallee post-industrielle des Vosges alsaciennes, peuplee de personnages pittoresques – depuis un cure de choc jusqu’au surnomme Fifty-Fifty, controleur SNCF et mystique du rail. Il y fait la connaissance de Suzy Fuchs, jeune femme tres exaltee qui pretend diriger une armee de lutins et regner sur une foret grouillante de fees et d’esprits. Initie au terrorisme ecologique puis au paganisme erotique, Pierre Martineau deviendra-t-il le quatrieme disciple d’un Ordre qui compte deja dans ses rangs un ecureuil et un simple d’esprit ?

Dans la droite ligne du precedent roman de l’auteur (En attendant le roi du monde), une reflexion pleine d’humour et de profondeur sur le desenchantement du monde.

Ne en 1969, Olivier Maulin vit a Paris. Chez le meme editeur, il a fait paraitre En attendant le roi du monde, premier roman tres remarque qui a obtenu le Prix Ouest-France/Etonnants voyageurs 2006.

  • La revue de presse Baptiste Liger – Lire, avril 2008

Un publicitaire parisien perdu chez les paganistes des Vosges. Une fable hilarante d’Olivier Maulin…
Pour imaginer une telle histoire, Olivier Maulin a du un peu abuser des jeux de roles ! Apres l’odyssee lusitanienne d’En attendant le roi du monde, ce jeune ecrivain signe un deuxieme roman d’une grande drolerie. Au-dela de sa trame initiatique, Les Evangiles du lac s’interrogent avec malice sur les formes de croyance et le militantisme au nom de la nature. Sa reussite tient aussi dans la composition de personnages secondaires : l’abbe Nono, Louiele le troll qui cite Aristote, ou le pere de Suzy, Fifty-Fifty, chantre du socialisme mystique. Le socialisme, sans la mystique, c’est comme une biere sans bretzel, c’est vulgaire et desolant. Vu comme ca…