Auteur : David Foenkinos
Date de saisie : 02/10/2008
Genre : Romans et nouvelles – etranger
Editeur : Gallimard, Paris, France
Collection : Blanche
Prix : 16.00 / 104.95 F
ISBN : 978-2-07-012225-7
GENCOD : 9782070122257
Sorti le : 02/10/2008
L’Alinea (Martigues)Dialogues (Brest)Durance (Nantes)Maison du livre (Rodez)Mollat (Bordeaux)Ombres Blanches (Toulouse)Sauramps (Montpellier)Thuard (Le Mans)
- Les presentations des editeurs : 08/06/2009
Je pense a Iris qui fut importante tout de meme, a Emilie aussi, a Celine bien sur, et puis d’autres prenoms dans d’autres penombres, mais c’est Alice, toujours Alice qui est la, immuable, avec encore des rires au-dessus de nos tetes, comme si le premier amour etait une condamnation a perpetuite.
Alice et Fritz s’aiment, et passent leur vie a se separer. Les raisons : la cyclothymie des mouvements passionnels, les parents et les beaux-parents, le travail et les collegues, les amis d’enfance, deux Polonais comme toujours, les cheveux et les dents, une longue histoire de cravate, la jalousie, et Schopenhauer bien sur.
Nos separations est le septieme roman de David Foenkinos. Il a publie notamment Le potentiel erotique de ma femme et Qui se souvient de David Foenkinos ? Ses romans sont traduits dans plus d’une quinzaine de pays.
- La revue de presse Mohammed Aissaoui – Le Figaro du 22 octobre 2008
L’histoire d’un couple qui passe sa vie a se separer. Brillant et drole…
Le romancier joue avec brio de toutes les ressources d’une ecriture rapide. Il ne manque pas d’esprit ni de fantaisie. Il parvient a rendre credibles les situations les plus saugrenues, comme d’assister a un enterrement le jour de son mariage… un mariage rate, bien sur. C’est une vraie joie de lire Nos separations, et de voir un jeune ecrivain se faire une place a force de talent. Il faut bien le dire, l’auteur a invente ce qu’il y a de plus difficile : un style, seduisant et reconnaissable entre tous, compose d’autoderision, d’intelligence et d’erudition. Oui, il y a du Woody Allen en lui. Et pas seulement a cause des lunettes.
- La revue de presse Claire Julliard – Le Nouvel Observateur du 15 octobre 2008
Etrange et emouvant, le nouveau Foenkinos est marque par son habituel mordant, mais son humour s’y teinte de melancolie…
Le propos du roman est moins d’offrir une vision pessimiste et absurde du lien sentimental que d’etudier le resultat d’une trajectoire amoureuse deviee de son but originel. Les deux protagonistes ne parviennent pas a vivre ensemble. Un mauvais genie semble s’acharner contre eux. Pourtant, leurs destins continuent de suivre des voies paralleles au point de les souder de maniere inattendue, comme on le decouvre dans les dernieres pages.