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Patrick Dewaere : la douleur de vivre

Auteur : Bertrand Tessier

Date de saisie : 13/01/2007

Genre : Biographies, memoires, correspondances…

Editeur : Albin Michel, Paris, France

Collection : Nostalgie

Prix : 26.00 / 170.55 F

GENCOD : 9782226152145

Sorti le : 03/01/2007

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  • Les courtes lectures : Lu par Francois Attia – 16/09/2008

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Francois Attia – 23/05/2007

  • Les courtes lectures : Lu par Agathe Lhuillier – 16/09/2008

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Agathe L’huillier – 15/03/2007

  • Les presentations des editeurs : 16/09/2008

Patrick Dewaere : une trajectoire fulgurante brutalement interrompue en juillet 1982 lorsqu’il met fin a ses jours a l’age de trente-cinq ans. Flic ou voyou, tendre ou violent, Dewaere etait a l’ecran comme dans la vie un etre a part dont la revolte masquait l’extreme fragilite, un homme blesse.
De ses debuts au Cafe de la gare aux Valseuses, de son enfance a ses derniers instants, l’itineraire d’un ecorche vif et d’un acteur surdoue, symbole de toute une generation.

Bertrand Tessier signe chaque semaine les chroniques du show-business de Gala. Il a publie plusieurs ouvrages parmi lesquels Il s’appelait Claude… (Albin Michel, 2003) et Julien Clerc (Albin Michel, 2006).

  • Les courts extraits de livres : 16/09/2008

Le pauvre mec, il est mort a trente-cinq ans.
Tu te rends compte de la perte ?
Quelle epoque de cons

Qu’a-t-il bien pu se passer dans la tete de Patrick Dewaere, en cet apres-midi de juillet, pour qu’il decide de mettre fin a ses jours de maniere aussi brutale ? Il n’a pas laisse le moindre mot d’explication. Mais sait-on jamais pourquoi un homme choisit la nuit ? Sait-il lui-meme pourquoi, soudain, il ne supporte plus la lumiere du jour ? On parlera beaucoup de son penchant pour les paradis artificiels, mais comme on ne retrouvera ni alcool, ni drogue dans son sang, ni de traces de piqures, on evoquera sa difficulte a faire face aux crises de manque. Est-ce la seule verite d’une tragedie qui a transforme le destin de l’acteur le plus doue de sa generation ? Surement pas. Avec le recul, sa mort apparait comme ineluctable, inscrite. Je vais me tuer repetait-il souvent, comme par bravade. Patrick a toujours vecu sur le fil. Vivant dangereusement, il avait une relation intime avec la mort.