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Toutes ces choses qu’on ne s’est pas dites

Auteur : Marc Levy

Date de saisie : 15/05/2008

Genre : Romans et nouvelles – francais

Editeur : Robert Laffont, Paris, France

Prix : 21.00 €

ISBN : 978-2-221-11000-3

GENCOD : 9782221110003

Sorti le : 15/05/2008

  • Le choix des libraires : Choix de Robert Zaigue de la librairie THE FRENCH BOOKSHOP a LONDRES, Grande-Bretagne (visiter son site) – 18/05/2008

Ce nouveau roman, c’est un superbe retour a l’atmosphere si particuliere de “Et si c’etait vrai”, et meme mieux… Franchement, j’ai passe un tres tres bon moment. Merci Marc Levy et continuez de faire rever tant de lecteurs.

  • Les presentations des editeurs : 12/05/2008

Toutes ces choses qu’on ne s’est pas dites
est le huitieme roman de Marc Levy.

Quelques jours avant son mariage, Julia recoit un coup de fil du secretaire particulier de son pere. Comme elle l’avait pressenti, Anthony Walsh – homme d’affaires brillant, mais pere distant – ne pourra pas assister a la ceremonie.

Pour une fois, Julia reconnait qu’il a une excuse irreprochable. Il est mort.

Julia ne peut s’empecher de voir la un dernier clin d’oeil de son pere, qui a toujours eu un don tres particulier pour disparaitre soudainement et faire basculer le cours de sa vie.

Le lendemain de l’enterrement, Julia decouvre que son pere lui reserve une autre surprise. Sans doute le voyage le plus extraordinaire de sa vie… et peut-etre pour eux deux l’occasion de se dire, enfin, toutes les choses qu’ils ne se sont pas dites.

Marc Levy renoue ici avec l’univers romantique et fantastique qui l’a fait connaitre. Dans cette aventure pleine de suspense, de tendresse et d’humour, l’auteur nous entraine au coeur de la relation entre un pere et sa fille et nous raconte l’histoire d’un premier amour – celui qui ne meurt jamais.

  • Les courts extraits de livres : 12/05/2008

– Alors, comment me trouves-tu ?
– Tourne-toi et laisse-moi te regarder.
– Stanley, cela fait une demi-heure que tu m’examines de la tete aux pieds, je n’en peux plus de rester debout sur ce podium.
– Je diminuerais dans la longueur ; ce serait un sacrilege de cacher des jambes comme les tiennes !
– Stanley !
– Tu veux mon avis, ma cherie, oui ou non ? Tourne-toi encore que je te voie de face. C’est bien ce que je pensais, entre le decollete et le tombe du dos, je ne vois aucune difference ; au moins si tu fais une tache, tu n’auras qu’a la retourner… devant derriere, meme combat !
– Stanley !
– Cette idee d’acheter une robe de mariage en solde m’horripile. Pourquoi pas sur Internet pendant que tu y es ? Tu voulais mon opinion, je te l’ai donnee.
– Pardon si je ne peux pas m’offrir mieux avec mon salaire d’infographiste.
– Dessinatrice, ma princesse ! Dieu que j’ai horreur de ce vocabulaire du XXIe siecle.
– Je travaille sur un ordinateur, Stanley, plus avec des crayons de couleur !
– Ma meilleure amie croque et anime de merveilleux personnages, alors, ordinateur ou pas, elle est dessinatrice et pas infographiste ; il faut vraiment que tu discutes sur tout !
– On la raccourcit ou on la laisse comme ca ?
– Cinq centimetres ! Et puis il faudra me reprendre cette epaule et serrer a la taille.
– Bon, j’ai compris, tu detestes cette robe.
– Ce n’est pas ce que j’ai dit !
– Mais c’est ce que tu penses.
– Laisse-moi participer aux frais et filons chez Anna Maier ; je t’en supplie, pour une fois ecoute-moi !
– A dix mille dollars la robe ? Tu es completement dingue ! Ce n’est pas non plus dans tes moyens, et puis ce n’est qu’un mariage, Stanley.
– Ton mariage !
– Je sais, soupira Julia.
– Avec la fortune qu’il possede, ton pere aurait pu…
– La derniere fois que j’ai apercu mon pere, j’etais a un feu rouge et lui dans une voiture qui descendait la Cinquieme Avenue… il y a six mois. Fin de la discussion !