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Un age nomme desir : feminite et maturite

Couverture du livre Un age nomme desir : feminite et maturite

Auteur : Regine Lemoine-Darthois | Elisabeth Weissman

Date de saisie : 14/02/2006

Genre : Sociologie, Societe

Editeur : Albin Michel, Paris, France

Prix : 16.00 / 104.95 F

ISBN : 978-2-226-17076-7

GENCOD : 9782226170767

  • Les presentations des editeurs : 14/05/2006

La crise de la cinquantaine, que les auteurs ont traite avec Elles croyaient qu’elles ne vieilliraient jamais ne dure pas indefiniment. A la faveur de ce passage et avec la claire conscience du temps qui s’ecoule, certaines femmes vont etre prises d’une sorte de devoration de la vie faisant de ce nouveau temps qui s’annonce, le temps du desir, de leurs desirs. Une fois liberees de leur obligations familiales (les enfants sont partis) commence pour certaines le temps de l’audace. Bien decidees a resister a la pression sociale selon laquelle a cet age la, on se range. En total conscience, avec parfois meme ce sentiment de desespoir joyeux que requiert la conscience qu’il n’y a plus de temps a perdre, elles choisissent de vivre une aventure spirituelle, artistique existentielle, sentimentale, conjugale, ou encore erotique. Non seulement elles font toujours l’amour, mais elles le font tellement mieux, fortes de leur experience de vie et de leur capacite d’abandon amoureux, decouvrant pour certaines une sexualite, qui liberee de la reproduction est tout entiere dediee au plaisir. Et si elles sont grand-meres c’est au nom du desir et non du devoir.

Les quinquas inventent un nouveau modele de feminite de la maturite et un nouveau concept : celui de la maturite erotique. Lucides, courageuses, dans leur capacite a faire exploser le cocon construit pendant des dizaines d’annees, maintenant encore, elles choisissent leur vie. Elles l’ont fait a 20 ans. Elles continuent a 60.

Regine Lemoine-Darthois dirige une societe de communication.

Elisabeth Weissman est journaliste a Elle. Ensemble, elles ont publie Elles croyaient qu’elles ne vieilliraient jamais, et Vieillir, eux, jamais, chez Albin Michel.