Auteur : Douglas Kennedy
Traducteur : Bernard Cohen
Date de saisie : 07/07/2005
Genre : Romans et nouvelles – etranger
Editeur : Belfond, Paris, France
Prix : 20.00 / 131.19 F
ISBN : 978-2-7144-4010-5
GENCOD : 9782714440105
L’Alinea (Martigues)Dialogues (Brest)Durance (Nantes)Maison du livre (Rodez)Mollat (Bordeaux)Ombres Blanches (Toulouse)Sauramps (Montpellier)Thuard (Le Mans)
- Les presentations des editeurs : 14/05/2006
Et si l’homme de votre vie devenait votre pire ennemi ?
Du Caire a la banlieue de Londres, une terrible descente aux enfers orchestree de main de maitre par un Douglas Kennedy plus retors que jamais.
En mission au Moyen-Orient, Sally rencontre Tony. Elle est reporter au Boston Post, il est journaliste au Chronicle. Elle est petillante, il est charmeur. Elle est celibataire, lui aussi. Ce qui doit arriver arrive : coup de foudre. Mais Sally ignore encore que le reve va virer au cauchemar. Et que le pire viendra de celui qu’elle pensait pourtant bien connaitre, son mari…
Douglas Kennedy est ne a New York en 1955 et vit entre Paris et Londres.Il s’est impose sur la scene litteraire internationale avec, entre autres, L’homme qui voulait vivre sa vie et La Poursuite du bonheur (Belfond, 1998 et 2001), et dernierement avec Rien ne va plus (Belfond, 2002), qui a recu le prix litteraire du Festival du cinema americain de Deauville 2003.
Douglas Kennedy est ne a New York en 1955 et vit entre Paris et Londres. Il s’est impose sur la scene litteraire internationale avec, entre autres, L’homme qui voulait vivre sa vie et La Poursuite du bonheur (Belfond, 1998 et 2001), et dernierement avec Rien ne va plus (Belfond, 2002), qui a recu le prix litteraire du Festival du cinema americain de Deauville 2003.
- La revue de presse Christine Ferniot – Lire de juillet 2005
Histoire de derouter le lecteur des les premieres lignes, Douglas Kennedy commence Une relation dangereuse couleur rose bonbon. On assiste en direct a un coup de foudre entre deux journalistes sur fond de reportage au Moyen-Orient… La tension ne cessera de monter avec les pires coups tordus, une bonne dose de mauvais esprit et un sens du rythme crescendo. C’est violent, souvent narquois, implacablement construit jusqu’au retournement final.